Ayant développé depuis longtemps un certain intérêt pour le Japon de l’entre-deux-guerres, nous avons récemment pris notre après-midi pour aller voir à la Cinémathèque française un film réputé mais introuvable sur support physique : La Terre (Tsuchi, 1939) de Tomu Uchida, projeté dans le cadre de la rétrospective consacrée au centenaire de la Nikkatsu.
Les informations sur ce film sont rares et se limitent généralement à quelques lignes élogieuses dans les ouvrages spécialisés, en français ou en anglais. Incapable de lire le japonais, nous allons difficilement pouvoir révolutionner la recherche en français sur ce film. Nous sommes de toute façon peu porté sur la révolution, nous laissons cela aux jeunes.
Le but de notre article est de compiler les informations existantes en les remettant dans le contexte de l’époque. Nous fournirons également notre point de vue pour les lecteurs encore présents à la fin de notre texte. Il faut l’avouer, le sujet n’intéressera probablement que quelques passionnés et notre style sera austère, à l’image de l’ambiance du film et du roman. Les petits rigolos passeront leur chemin et iront s’occuper sur http://www.zombo.com/, où ils trouveront forcément leur bonheur.
Contrairement à nos habitudes, nous allons dévoiler des moments clés de l’intrigue. Nous demandons au lecteur de nous excuser, le préjudice restant minime : l’intérêt du métrage ne repose pas sur un quelconque suspense et le nombre de personnes susceptibles de voir ce film introuvable est plutôt restreint.
Les informations sur ce film sont rares et se limitent généralement à quelques lignes élogieuses dans les ouvrages spécialisés, en français ou en anglais. Incapable de lire le japonais, nous allons difficilement pouvoir révolutionner la recherche en français sur ce film. Nous sommes de toute façon peu porté sur la révolution, nous laissons cela aux jeunes.
Le but de notre article est de compiler les informations existantes en les remettant dans le contexte de l’époque. Nous fournirons également notre point de vue pour les lecteurs encore présents à la fin de notre texte. Il faut l’avouer, le sujet n’intéressera probablement que quelques passionnés et notre style sera austère, à l’image de l’ambiance du film et du roman. Les petits rigolos passeront leur chemin et iront s’occuper sur http://www.zombo.com/, où ils trouveront forcément leur bonheur.
Contrairement à nos habitudes, nous allons dévoiler des moments clés de l’intrigue. Nous demandons au lecteur de nous excuser, le préjudice restant minime : l’intérêt du métrage ne repose pas sur un quelconque suspense et le nombre de personnes susceptibles de voir ce film introuvable est plutôt restreint.