jeudi 27 octobre 2011

And the colored girls say doo doo doo doo doo doo doo doo doo

Fin septembre dernier, avec plusieurs membres du forum de dvdclassik, des rédacteurs de dvdclassik et de 1kult, nous avons eu la chance de visiter les locaux de la société Wild Side et de rencontrer, lors d’un long entretien, le DG de la boîte, Manuel Chiche.
L’entrevue est disponible en version écrite sur le site de dvdclassik (http://www.dvdclassik.com/Critiques/interview-wild-side-2011.html). Nous invitons les lecteurs intéressés à s’y reporter. Dans cette petite note, nous y reviendrons en insistant sur quelques points nous tenant à cœur et nous détaillerons les autres éléments de cette matinée, non mentionnés par nos illustres compagnons visiteurs de bureaux et couloirs.

Outre la discussion avec Manuel Chiche, nous avons effectué un assez long tour des locaux, tel un troupeau de touristes sans gêne empêchant de travailler les autochtones : nous avons rencontré une bonne partie de l’équipe de Wild Side et avons discuté de nombreux sujets. Nous aurions pu probablement passer une heure dans chaque bureau mais notre gentil organisateur, le responsable communication Benjamin Gaessler, nous extirpait aimablement de chaque lieu afin de garder suffisamment de temps pour l’entretien avec le boss.

Excusez-nous à l’avance des éventuelles imprécisions : nous n’avons pas pris de notes lors de nos pérégrinations dans les bureaux et tout repose sur notre mémoire des faits et des chiffres. Afin de clarifier notre propos, nous organiserons les informations et divagations par thème.

mardi 4 octobre 2011

Blanche-patte et les sept nouilles

Nous dissertons habituellement sur des films pour lesquels nous pouvons apporter des informations a priori intéressantes ou un point de vue un minimum original. D’aucuns pourront contester la pertinence de nos propos, ils n’auront qu’à s’exprimer vertement dans les commentaires ou aller lire ailleurs.
Mais parfois, nous nous sentons dans l’obligation d’écrire sur un film donné, l’intérêt de nos propos passant au second plan devant le besoin de brandir avec fierté et violence le titre dans la face du monde, acte assez douloureux pour ce dernier. C’est le cas des films de ninjas, de Harakiri ou de The Man Who Laughs plus récemment, ou du film d’aujourd’hui : House de Nobuhiko Obayashi (1977, prononcé Hausu en japonais), probablement le film commercial le plus bizarre que nous ayons eu l’occasion de voir (les lecteurs ayant connaissance d’un objet filmique plus étrange sont invités à nous faire partager leur science dans les commentaires).

Pour ce film, nous ne suivrons pas notre structure critique habituelle, peu adaptée à cet objet improbable. Nous adopterons à la place un découpage en deux temps : une première partie « Non mais c’est quoi ce truc ? » et une deuxième partie plus réfléchie, basée sur nos lectures ultérieures et sur une interview du réalisateur et de son co-scénariste présente sur le DVD Criterion.